Journée du 11 avril 98 : En route pour  Panama
 
  
Journée horrible… On dit qu’il faut trois jours pour s’amariner d’habitude ; on est le troisième jour…ça ne va pas franchement mieux.  Même la lecture devient difficile…Le vent change et nous laisse sans réactions, ou presque, sinon celle de modifier le cap en conséquence.  On devrait faire plus du vent arrière, et donc gréer le spi, mais c’est –très loin – au delà de ce qu’on peux imaginer faire.