Journée du 17 mai 98 :  Vers les Galapagos
 
La nuit passe à guetter le vent, à hisser quand on croit qu’il est là, puis à affaler quand il est flagrant qu’il nous faisait une blague et que les voiles pendent lamentablement, quand elles ne battent pas. 
Les grains que l’on voit au loin nous mettent dans des états de tension inédit sur Ataram, mais ils n’amènent plus que de la pluie.